Un aperçu de l’Institut national de médecine légale d’Abu Kabir. Des cadavres continuent d’y arriver même au dix-huitième jour de la guerre, ceux qui sont dans les conditions les plus difficiles à identifier. Les travailleurs de l’institut, même les plus âgés, se retrouvent choqués devant les horreurs, s’effondrant pour la première fois de leur vie professionnelle. Article de Nov Reuveni, du journal du soir du 24/10/23